Conseils et solutions de soutiens à cette maladie d'alzheimer
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Article
Alzheimer
Theme
15 min
Duration
Date de publication
03/03/2023
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Présentation de la maladie d’Alzheimer
La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui conduit progressivement à une perte de mémoire ou démence et autres troubles cognitifs. Elle touche environ 1,2 million de Français et représente un réel enjeu de santé publique, notamment dans la prise en charge des malades qui sont souvent âgées
Depuis une vingtaine d’années, la recherche thérapeutique contre la maladie d’Alzheimer est tournée vers un unique objectif : réduire l’accumulation de peptides amyloïdes pathologiques dans le cerveau des personnes présentant les premiers signes de cette maladie neurodégénérative.
Avoir un quotidien confortable : Tout changement dans l’organisation de vie du malade est susceptible d’exacerber ses troubles du comportement. On peut essayer de maintenir les repères existants dans le temps et l’espace.
Il faut stimuler le corps : essayer de maintenir notamment la marche par des promenades quotidiennes. Si besoin, vous pouvez avoir recours à un kinésithérapeute, un psychomotricien ou un ergothérapeute …
Maintenir les activités sociales et de loisirs : les activités proposées doivent être plaisantes, adaptées aux capacités réelles du malade et à ses goûts, et réalisées par le malade lui-même. L’essentiel n’est pas qu’il exécute correctement ces activités, mais qu’il y participe, en évitant le sentiment d’échec.
Laisser la liberté à la personne : il ne faut pas entrer dans la vie de la personne, laissez-lui de l’oxygène et ne travailler pas à se place, cette personne doit être assister mais elle doit exercer d’elle-même pour pratiquer sa motrice cérébrale.
Laisser du temps : Pour réaliser une tâche un peu complexe ou inhabituelle, un malade Alzheimer peut mettre 4 à 5 fois plus temps qu’une personne du même âge. Il est important de tenir compte de ce besoin. Le presser ne servirait qu’à augmenter sa confusion et faire à sa place le mettrait en position d’échec. Il existe toujours une autre solution.
Par exemple si vous craignez que la personne ne soit en retard à un rendez-vous médical fixé dans la matinée parce qu’elle aura passé trop de temps à s’habiller, réveillez-la une heure plus tôt que de coutume.
Adapter l’intervention
Sur les capacités préservées, il faut aussi calquer le niveau d’intervention de l’aidant. La pire erreur est de se substituer à la personne dans l’accomplissement des tâches, au lieu de l’accompagner en employant au maximum son potentiel.
L’essentiel n’est pas tant que le résultat soit obtenu, mais que la personne en ait l’impression ! Si elle s’est mise en tête de cuisiner un plat, qu’importe que vous lui ayez mâché le travail en préparant tous les ingrédients ou qu’il soit trop cuit à la fin, pourvu qu’elle soit fière d’y être parvenue !
Une bonne estime de soi décuple ses chances de maintenir l’autonomie.
Apprendre a s’adresser d’une autre manière envers le malade concerné ; il faut s’exprimer de manière claire et simple avec des phrases courtes sur un ton calme.
Il est préférable de rarement contredire la personne ou l’interdire de quoi que ce soit mais plutôt l’accompagner et la distraire pour obtenir ce que l’on veut.
Il faut egalement travailler sur des activités, pratiquer des exercices physique quotidien avec le malade pour maintenir son autonomie le plus longtemps possible.
il faut sortir et faire profiter la personne sans l’abandonner, il faut privilégié les jours lumineux pour une exposition au jour favorable et ne s’aligner sur les horaires de marche habituelle
De nombreuses tâches quotidienne son favorable et d’une manière génrale comme précisé plus haut il ne faut pas faire les choses à la place du patients.
Conclusion
En conclusion, il faut prendre du recul sur la situation, ecouter, apaiser en ayant un contact physique chaleureux ( épaules, mains…) Il faut se mettre à la hauteur de la personne, il faut laisser le patient s’exprimer, même s’il n’est pas cohérent et lui répondre.
La communication est très important dans l’accompagnement de cette maladie, il ne faut pas la négliger.
Ce n’est pas le seul moyen d’accompagnement il faut exercer la mémoire cérébral du patient, avec des activités, mais il faut également ne pas la brusqué et garder une certaine habitude pour garder ce confort de vie pour le patient.

Quelques questions
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